Top articles
-
Jeu de lumières
Au hasard d'un collage improvisé.
-
Confusion temporaire n'ajustez pas...
L'argile est encore souple mais c'est froid au toucher. Les colombins s'assemblent au gré de l'humeur. Une assise forte. La tête lourde de pensées pesantes est inclinée.
-
Ouvrir soi à soi-même
Irvin Yalom a 91 ans aujourd'hui. J'avais noté ça dans mon calendrier, comme si nous étions de bons amis. En fait nous le sommes mais il l'ignore. Il l'est par ma fréquentation de son oeuvre littéraire, reflet de son oeuvrement thérapeutique. le désir...
-
Dimanche après-midi
Un dimanche après-midi. nuages gris se disputent des pans de ciel bleu.le soleil fait des va et vient. je navigue entre lire, dessiner et ne rien faire. je jongle avec le ciel et les soleils. le chat dort d’un oeil, en boule sur le coussin. un geai bleu...
-
les fils dans ma tête
Dans ma tête les fils se nouent et se dénouent au gré des pensées . tout pousse à une telle vitesse. vive le vent.
-
Callas
Quand Maria Calas chante Norma (Bellini) je suis transportée
-
Ombra Mai Fu
Ombra Mai Fu- Haendel. Orfeo 55 conduit et chanté par N. Stutzmann. Ça donne ce dessin une fois englouti dans mes neurones.
-
Dans l'herbe
Il y a des endroits comme ça, trouvé au hasard d'une ballade, qui donne le goût de s'allonger sur l'herbe , de regarder se promener les nuages, goûter l'été hors des murs.
-
sortir la nuit
« Les artistes étaient là pour poser des questions, ils n’apportaient pas de solution concrète aux malheurs du monde. » Louise Dupré in Théo à jamais Je ne pose pas de questions, je rêve et parfois j’hallucine dans mon champ de tomates, la nuit. Claire...
-
Interdiction de vieillir
« Nous nous protégeons du regard des autres. Ceux qui dissimulent la vieillesse font la même chose. Ils prennent la santé pour de la jeunesse. Restez jeunes. La vieillesse est aussi interdite que la cigarette. » Denise Boucher
-
perturbation temporaire ajustez votre appareil
Mon arc en ciel est perturbé Retour de l'hiver en mai Improbable confinée Cauchemar annoncé
-
être arbre
nature forte, sereine femme qui rêve étendre ses racines branches feuilles être arbre sanctuaire où chantent les oiseaux de passage l’espace d’une saison près des nuages
-
le gîte des rêves
« Le saut hors de la matrice; à la poursuite du Lapin Blanc. En laissant l'imagination errer dans les cryptes de la mémoire, on retrouve sans s'en apercevoir la vie songeuse menée dans les minuscules terriers de la maison, dans le gîte quasi animal des...
-
Le silence fleuri
Des fleurs sauvages jaunes viennent d’apparaitre en bordure de route. J’ai croisé un dindon sauvage. Il marchait doucement tout à son affaire. La campagne est encore silencieuse. Plus pour longtemps. Lanaudière sera bientôt en déconfinement.
-
le nid du coucou
Il y a des moments comme ça où on est mieux de rester chacun.e chez soi, mais pas dans l’indifférence, même si on peut voler au dessus du nid du coucou.
-
la cithare
Un tronc d’arbre cassé et séché en bord de route est devenu cithare ( mon premier Haiku) https://youtu.be/Ig91Z0-rBfo
-
Le portrait du monde
Ce confinement nous fait rétrécir notre champ de vision sur le monde. La caméra de l'ordi présente le visage. Le verbal et le non-verbal n'ont qu'une fenêtre unidimensionnelle pour s'exprimer. On sera surprises plus tard de redécouvrir les corps qui portent...
-
lecture et vagues à l'âme
Aucune lecture ne m'accroche en ce moment. Les mots se disloquent. Recherche de sens sans dessus dessous.
-
Fin d'hiver
L'hiver perdure à la campagne mais pas pour longtemps. Une petite pluie fine jongle avec l'état de grêle. Le lac va caler bientôt. La chute s'emballe. Je rêve d'une grande fonte. Sentir la terre, entendre les oies blanches...
-
La découverte
Dessin numérique. Intitulé spontanément , sa description demeure dans le brouillard de mon inconscient pour le moment. À ce qu'il semble...
-
Les mots croisés
Dessin numérique. Un couple dans un café de Rimouski un samedi matin, chacun.e concentré.e sur sa grille géante de mots croisés. Chacun.e dans son cadre. Dehors la tempête achève et le Covid-19 commence son oeuvre néfaste
-
Casser la glace
Ça fait un bien fou de balancer la neige par dessus le garde fou et de casser la glace jusqu'à retrouver le bois de la galerie. Tout balayer et placer la chaise et la table dehors. Goûter au soleil.
-
un nouveau silence
sans les 747, les hydravions, les hélicos, le ciel redevient un espace calme. Les oies peuvent déployer leurs ailes en toute liberté. Parfois jusqu'à tout près de deux mètres d'une aile à l'autre. Quelle envergure.
-
Et puis après le cimetière
et le gommage Gesso, sur la toile redevenu blanche. est apparu comme un fantôme, feu mon chat Maigret Au centre de la toile le rouge d'un coeur qui l'a aimé ou du sien qui m'a aimé aussi.
-
Ah que l'hiver...
s'en prend aux sapins et les transforme en joyeuseté